En Traducidas.net encontrará la traducción al castellano de las letras de Sylvie Vartan y muchos artistas y grupos más
Non ce n'est rien qu'une chanson qui revient quelquefoisRien qu'un sourire, en souvenir d'un garçon d'autrefoisQuand mes jours sont grisQu'il neige sur ma vie, il revient dans ma mémoireAu lycée Français un soir il m'attendaitIl souriait Nicolas{Refrain:}Nicolas, Nicolas, ma première larme ne fandamp;ucirc;t que pour toiOn était, des enfants, notre peine valait bien celle des grandsNicolas, Nicolas, c'était de l'amour, on ne le savait pasC'est la vie, qui nous prendQui nous emmène où elle veut et où elle vaUn homme enfant, aux yeux trop grands, sur un quai, qui pleuraitIl a neigé, beaucoup depuis, sur là bas, sur ParisEt il ne sait rien, de moi et de ma vieCe que je fais, qui je suisIl ne connaandamp;icirc;t pas, l'autre Maritza, il garde la vraielà-basNicolas, Nicolas mon premier chagrin s'appelle comme toiJe savais, que jamais, je ne reviendrai ici auprès de toiNicolas, Nicolas c'était de l'amour, on ne le savait pasC'est le temps, qui s'en vaQui invente toutes nos peines et nos joies.Nicolas, Nicolas, ma première larme ne fandamp;ucirc;t que pour toiOn était des enfants, notre peine valait bien celle des grandsNicolas, Nicolas, c'était de l'amour, on ne le savait pasC'est la vie qui nous prendQui nous emmène où elle veut et où elle vaNicolas, Nicolas.....
No es sólo una canción que viene quelquefoisRien una sonrisa en la memoria de un niño de mis días son autrefoisQuand grisQu'il nieve en mi vida, es en mi escuela secundaria francesa mémoireAu una tarde m ' Nicolás sonrió attendaitIl {Estribillo:} Nicolás, Nicolás, mi primera lágrima se fandamp; ucirc; t fue de toiOn, los niños, nuestro dolor era tan bueno como el de grandsNicolas, Nicolás, era el amor, no sabíamos pasC'est vida, prendQui nos lleva donde quiere y donde Vaun niño humano, con los ojos muy grandes, en un muelle, que pleuraitIl nevado mucho desde entonces de la existencia, en Pariset no sabe nada de yo y mi VIEC yo, que puedo hacer suisIl connaandamp; icirc; no, el Maritza otros, mantiene vraielà-basNicolas, Nicolas mi nombre como el dolor Toija sabía que nunca, me quedaré aquí con toiNicolas, Nicolás era el amor, no sabíamos el tiempo pasC'est, que se trata de inventar todas nuestras penas y nuestras joies.Nicolas, Nicolás, mi primera lágrima se fandamp; ucirc, que t para toiOn eran niños, nuestro dolor valió la pena el de grandsNicolas, Nicolás, era el amor, no sabía que la vida pasC'est
Ayúdanos a mejorar, si encuentras errores ¡Envíanos tu corrección!
Sylvie Vartan
Nicolas
Nicolas
Non ce n'est rien qu'une chanson qui revient quelquefoisRien qu'un sourire, en souvenir d'un garçon d'autrefoisQuand mes jours sont grisQu'il neige sur ma vie, il revient dans ma mémoireAu lycée Français un soir il m'attendaitIl souriait Nicolas{Refrain:}Nicolas, Nicolas, ma première larme ne fandamp;ucirc;t que pour toiOn était, des enfants, notre peine valait bien celle des grandsNicolas, Nicolas, c'était de l'amour, on ne le savait pasC'est la vie, qui nous prendQui nous emmène où elle veut et où elle vaUn homme enfant, aux yeux trop grands, sur un quai, qui pleuraitIl a neigé, beaucoup depuis, sur là bas, sur ParisEt il ne sait rien, de moi et de ma vieCe que je fais, qui je suisIl ne connaandamp;icirc;t pas, l'autre Maritza, il garde la vraielà-basNicolas, Nicolas mon premier chagrin s'appelle comme toiJe savais, que jamais, je ne reviendrai ici auprès de toiNicolas, Nicolas c'était de l'amour, on ne le savait pasC'est le temps, qui s'en vaQui invente toutes nos peines et nos joies.Nicolas, Nicolas, ma première larme ne fandamp;ucirc;t que pour toiOn était des enfants, notre peine valait bien celle des grandsNicolas, Nicolas, c'était de l'amour, on ne le savait pasC'est la vie qui nous prendQui nous emmène où elle veut et où elle vaNicolas, Nicolas.....
Sylvie Vartan
Nicolas
Nicolas
No es sólo una canción que viene quelquefoisRien una sonrisa en la memoria de un niño de mis días son autrefoisQuand grisQu'il nieve en mi vida, es en mi escuela secundaria francesa mémoireAu una tarde m ' Nicolás sonrió attendaitIl {Estribillo:} Nicolás, Nicolás, mi primera lágrima se fandamp; ucirc; t fue de toiOn, los niños, nuestro dolor era tan bueno como el de grandsNicolas, Nicolás, era el amor, no sabíamos pasC'est vida, prendQui nos lleva donde quiere y donde Vaun niño humano, con los ojos muy grandes, en un muelle, que pleuraitIl nevado mucho desde entonces de la existencia, en Pariset no sabe nada de yo y mi VIEC yo, que puedo hacer suisIl connaandamp; icirc; no, el Maritza otros, mantiene vraielà-basNicolas, Nicolas mi nombre como el dolor Toija sabía que nunca, me quedaré aquí con toiNicolas, Nicolás era el amor, no sabíamos el tiempo pasC'est, que se trata de inventar todas nuestras penas y nuestras joies.Nicolas, Nicolás, mi primera lágrima se fandamp; ucirc, que t para toiOn eran niños, nuestro dolor valió la pena el de grandsNicolas, Nicolás, era el amor, no sabía que la vida pasC'est
Ayúdanos a mejorar, si encuentras errores ¡Envíanos tu corrección!