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Ne me dites pas que Jeanne était belle.Ne me dites pas, ne me dites pasque tous les garçons se seraient pour ellefait couper les bras.Elle avait les mains fortes qui consolent,le regard pesant des femmes combléeset cette splendeur de la faux qui volesur les champs de blé.Par Dieu, je le sais bien qu'elle était belle Jeannette,qu'elle avait le c?ur grand comme un buisson de fleurs,une auberge de c?ur où tous les gueux s'arrandamp;ecirc;tentvenant y déposer leur bagage et leur peur.Jeanne avait les bras courbés pour la gerbeet l'homme était gerbe en ses bras la nuit.Elle moissonnait ses peines acerbes,fauchait ses ennuis.Elle avait le flanc creusé en corbeillepour y recueillir les fruits de l'été.Ses lèvres savaient comme des abeillesaux fleurs s'arrandamp;ecirc;ter.Par Dieu, je le sais bien qu'elle était belle, Jeannette,qu'elle avait le c?ur grand comme un buisson de fleurs,une auberge de c?ur où tous les gueux s'arrandamp;ecirc;tent,venant y déposer leur bagage et leur peur.Quand elle passait, je la voulais morte,moi, triste pucelle au c?ur indistinct.Quand on l'a trouvée, c'était à ma porte,un dimanche matin.Quand je vois dormir près de moi mon homme,le seul que Jeannette en sa vie aima,je ne parviens pas à trouver mon somme,moi qui ne l'aime pas.Par Dieu, je le sais bien qu'elle était belle, Jeannette,qu'elle avait le c?ur grand comme un buisson de fleurs,une tombe fleurie où ma pensée s'arrandamp;ecirc;tepour y calmer un peu mon sommeil et ma peur.
No me digas que fue Joan belle.Ne no me digas, no me digas pasque todos los niños tendrían que reducir bras.Elle Ellef tenía las manos fuertes que la consola, el aspecto de las mujeres que pesan combléeset el esplendor de aquel falso volesur campos blé.Par Dios, yo sé que ella era hermosa Jeannette, tenía un corazón tan grande como un arbusto de flores, un hostal en el centro en el que todos los mendigos s'arrandamp; ecirc; su depósito tentvenant equipaje y los brazos doblados peur.Jeanne para el hombre gerbeet estaba en sus brazos la gavilla nuit.Elle cosechado penas amargo, cortado su ennuis.Elle habían cavado en los corbeillepour lado recoger los frutos del verano. Sus labios se conocían como abeillesaux flores s'arrandamp; ecirc; ter.Par Dios, yo sé que ella era hermosa, Jeannette, tenía un corazón tan grande como un arbusto de flores, un albergue en el corazón, donde todos los mendigos s'arrandamp; ecirc, tienda de campaña, de dejar su equipaje y sus peur.Quand pasó, me querían muerta, yo, doncella triste el corazón indistinct.Quand nos pareció que estaba en mi puerta, un Domingo matin.Quand veo dormir a mi lado a mi hombre, el único en su Jeannette v
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Anne Sylvestre
Jeannette
Jeannette
Ne me dites pas que Jeanne était belle.Ne me dites pas, ne me dites pasque tous les garçons se seraient pour ellefait couper les bras.Elle avait les mains fortes qui consolent,le regard pesant des femmes combléeset cette splendeur de la faux qui volesur les champs de blé.Par Dieu, je le sais bien qu'elle était belle Jeannette,qu'elle avait le c?ur grand comme un buisson de fleurs,une auberge de c?ur où tous les gueux s'arrandamp;ecirc;tentvenant y déposer leur bagage et leur peur.Jeanne avait les bras courbés pour la gerbeet l'homme était gerbe en ses bras la nuit.Elle moissonnait ses peines acerbes,fauchait ses ennuis.Elle avait le flanc creusé en corbeillepour y recueillir les fruits de l'été.Ses lèvres savaient comme des abeillesaux fleurs s'arrandamp;ecirc;ter.Par Dieu, je le sais bien qu'elle était belle, Jeannette,qu'elle avait le c?ur grand comme un buisson de fleurs,une auberge de c?ur où tous les gueux s'arrandamp;ecirc;tent,venant y déposer leur bagage et leur peur.Quand elle passait, je la voulais morte,moi, triste pucelle au c?ur indistinct.Quand on l'a trouvée, c'était à ma porte,un dimanche matin.Quand je vois dormir près de moi mon homme,le seul que Jeannette en sa vie aima,je ne parviens pas à trouver mon somme,moi qui ne l'aime pas.Par Dieu, je le sais bien qu'elle était belle, Jeannette,qu'elle avait le c?ur grand comme un buisson de fleurs,une tombe fleurie où ma pensée s'arrandamp;ecirc;tepour y calmer un peu mon sommeil et ma peur.
Anne Sylvestre
Jeannette
Jeannette
No me digas que fue Joan belle.Ne no me digas, no me digas pasque todos los niños tendrían que reducir bras.Elle Ellef tenía las manos fuertes que la consola, el aspecto de las mujeres que pesan combléeset el esplendor de aquel falso volesur campos blé.Par Dios, yo sé que ella era hermosa Jeannette, tenía un corazón tan grande como un arbusto de flores, un hostal en el centro en el que todos los mendigos s'arrandamp; ecirc; su depósito tentvenant equipaje y los brazos doblados peur.Jeanne para el hombre gerbeet estaba en sus brazos la gavilla nuit.Elle cosechado penas amargo, cortado su ennuis.Elle habían cavado en los corbeillepour lado recoger los frutos del verano. Sus labios se conocían como abeillesaux flores s'arrandamp; ecirc; ter.Par Dios, yo sé que ella era hermosa, Jeannette, tenía un corazón tan grande como un arbusto de flores, un albergue en el corazón, donde todos los mendigos s'arrandamp; ecirc, tienda de campaña, de dejar su equipaje y sus peur.Quand pasó, me querían muerta, yo, doncella triste el corazón indistinct.Quand nos pareció que estaba en mi puerta, un Domingo matin.Quand veo dormir a mi lado a mi hombre, el único en su Jeannette v
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