En Traducidas.net encontrará la traducción al castellano de las letras de Léo Ferré y muchos artistas y grupos más
Et qu'ont-ils à rentrer chaque année les Artistes ?J'avais sur le futur des mains de cordonnierChaussant les astres de mes peaux ensemelléesLa conscience dans le spider je mets les voilesEt quarante millions de mètres de tailleurPrenaient la taille à la putain de GaliléeLa terre a bu le coup et penche du TropiqueElle reste agrippée à mon temps cellulaireJe déchargeais des tombereaux de souvenirsNous étions une histoire et n'avions rien à direMoi je prendrai la quatrième dimensionPour trisser dans l'azur mes jambes migratricesLe mur instantané que je dresse à la ChineMao c'était le nom de ce Viking flamandLe tissu d'esquimau vieillit beaucoup plus viteDes plaies sur des grabats du Chili à LisbonneS'exténuaient en équations de cicatricesLe malade concret et l'interne distraitSont allés boire un pot au Café de la MorgueDes vieillards le chéquier à la main à la banqueFaisaient des virements de testicules abstraitsL'embryon vaginé derviche dans le manqueUn pavot est venu l'asperger cette nuitMon berceau féodal et mes couilles gothiquesDes faux-nez des trognons des tissus ajoutésFondaient sous les sunlights de l'Opéra ComiqueLa Standard Oil prend du bidon et du gin fizzLa fièvre est descendue ce soir à MexicoO ce parfum diapré dans la nuit des cigalesDans une discothèque on a mis des barreauxLes fenandamp;ecirc;tres s'en vont de la gorge et du squaleÇa sent la perfection dans ces rues amputéesSaint-Denis c'est un saint au derrière doubléLa fièvre est descendue ce soir dans un bordelEt fallait voir comment ça soufflait dans la caleIl y a partout des cons bordés d'oiseauxComme des lettres cheminant en parcheminNightingale O chansons crevées à minuit trenteJ'ai le concile dans la main qui se lamenteDevant le mur à faire un peu des oraisonsLa Folie m'a tenu la main à sa culotteOn eandamp;ucirc;t dit de la mer s'en allant pour de bonViens petit dévandamp;ecirc;ts-toi prends du large et jouisJe sais des paravents comme un zoom d'espéranceQue font-ils ? Qui sont-ils ?Ces gens qu'on tient en laisseDans les ports au shoppingAu bordel à la messe ?Et ces mandamp;ocirc;mes qu'on pourraitS'carrer entre deux trainsHistoire de leur montrerQu'on a du face-à-main...Ils ont voté Ils ont votéComme on prend un barbituriqueEt ils ont mis la RépubliqueAu fond d'un vase à reposerLes experts ont analyséCe qu'il y avait au fond du vaseIl n'y avait rien qu'un peu de vaseEt qu'ont-ils à rentrer chaque année les Artistes ?J'avais sur le futur des mains de cordonnierChaussant les astres de mes peaux ensemelléesLa conscience dans le spider je mets les voiles...SHAKESPEARE AUSSI ETAIT UN TERRORISTEandamp;quot; Words... words... words... andamp;quot; disait-ilVidela ?En français : BUDELLE, tripesEn italien : BUDELLA, tripesEn argentin ?Allez-y voir !DE QUOI DEGUEULER...VRAIMENT!
Léo Ferré
Words... words... words...
Words... words... words...
Et qu'ont-ils à rentrer chaque année les Artistes ?J'avais sur le futur des mains de cordonnierChaussant les astres de mes peaux ensemelléesLa conscience dans le spider je mets les voilesEt quarante millions de mètres de tailleurPrenaient la taille à la putain de GaliléeLa terre a bu le coup et penche du TropiqueElle reste agrippée à mon temps cellulaireJe déchargeais des tombereaux de souvenirsNous étions une histoire et n'avions rien à direMoi je prendrai la quatrième dimensionPour trisser dans l'azur mes jambes migratricesLe mur instantané que je dresse à la ChineMao c'était le nom de ce Viking flamandLe tissu d'esquimau vieillit beaucoup plus viteDes plaies sur des grabats du Chili à LisbonneS'exténuaient en équations de cicatricesLe malade concret et l'interne distraitSont allés boire un pot au Café de la MorgueDes vieillards le chéquier à la main à la banqueFaisaient des virements de testicules abstraitsL'embryon vaginé derviche dans le manqueUn pavot est venu l'asperger cette nuitMon berceau féodal et mes couilles gothiquesDes faux-nez des trognons des tissus ajoutésFondaient sous les sunlights de l'Opéra ComiqueLa Standard Oil prend du bidon et du gin fizzLa fièvre est descendue ce soir à MexicoO ce parfum diapré dans la nuit des cigalesDans une discothèque on a mis des barreauxLes fenandamp;ecirc;tres s'en vont de la gorge et du squaleÇa sent la perfection dans ces rues amputéesSaint-Denis c'est un saint au derrière doubléLa fièvre est descendue ce soir dans un bordelEt fallait voir comment ça soufflait dans la caleIl y a partout des cons bordés d'oiseauxComme des lettres cheminant en parcheminNightingale O chansons crevées à minuit trenteJ'ai le concile dans la main qui se lamenteDevant le mur à faire un peu des oraisonsLa Folie m'a tenu la main à sa culotteOn eandamp;ucirc;t dit de la mer s'en allant pour de bonViens petit dévandamp;ecirc;ts-toi prends du large et jouisJe sais des paravents comme un zoom d'espéranceQue font-ils ? Qui sont-ils ?Ces gens qu'on tient en laisseDans les ports au shoppingAu bordel à la messe ?Et ces mandamp;ocirc;mes qu'on pourraitS'carrer entre deux trainsHistoire de leur montrerQu'on a du face-à-main...Ils ont voté Ils ont votéComme on prend un barbituriqueEt ils ont mis la RépubliqueAu fond d'un vase à reposerLes experts ont analyséCe qu'il y avait au fond du vaseIl n'y avait rien qu'un peu de vaseEt qu'ont-ils à rentrer chaque année les Artistes ?J'avais sur le futur des mains de cordonnierChaussant les astres de mes peaux ensemelléesLa conscience dans le spider je mets les voiles...SHAKESPEARE AUSSI ETAIT UN TERRORISTEandamp;quot; Words... words... words... andamp;quot; disait-ilVidela ?En français : BUDELLE, tripesEn italien : BUDELLA, tripesEn argentin ?Allez-y voir !DE QUOI DEGUEULER...VRAIMENT!