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Et puis je sais tous ces regards sur moiEt puis je sais tous ces mots qu'on ne dit pasEt puis je sais tout ce que j'aurais pu faireA défaut de me taireQuand j'approchais l'enferEt puis je sais les sourires qu'on inventeLes mains glacées,Les longues heures d'attenteEt puis je sais les matins fatiguésPar trop de mots gandamp;acirc;chésTrop de randamp;ecirc;ves envolésEt puis je sais qu'il y a eu des colèresDes cris landamp;acirc;chés, des mots lancés en l'aireEt puis je sais tout ce que j'aurais pu direA défaut de souffrirQuand je les voyais venirJ'ai crié tant de fois pour qu'on m'entende mieuxSi souvent maladroit, si souvent malheureuxJ'ai garé mes angoisses sur des parkings de haineJ'ai payé des ardoises bien plus chères que mes chaandamp;icirc;nesMais je sais qu'on ne pardonne rienA qui se trompe de destinSur ce drandamp;ocirc;le de cheminEt puis je saisEt puis je sais ce jouet trop fragileQu'on ne donne jamais mais qu'on te prandamp;ecirc;te facileEt puis je sais toutes ces nuits inquiétantesLa peur collée au ventrePour remonter la penteEt puis je sais les silences entendusEt puis je sais toutes ces choses qu'on ne fait plusSi j'ai glissé sur des lits de hasardDans quelques nuits trop noiresPour quelques heures d'espoirJ'ai essayé de vivre au milieu des remordsJ'ai tenté de survivre quand on me croyait mortSi j'ai cru pour de bon aux amitiés poussièresChercher la solution au fond de quelques verresC'est que j'avais peur, que les autres me voientComme je vois les autres, j'avais si peur de moiEt puis je sais...
Johnny Hallyday
Et puis je sais
Et puis je sais
Et puis je sais tous ces regards sur moiEt puis je sais tous ces mots qu'on ne dit pasEt puis je sais tout ce que j'aurais pu faireA défaut de me taireQuand j'approchais l'enferEt puis je sais les sourires qu'on inventeLes mains glacées,Les longues heures d'attenteEt puis je sais les matins fatiguésPar trop de mots gandamp;acirc;chésTrop de randamp;ecirc;ves envolésEt puis je sais qu'il y a eu des colèresDes cris landamp;acirc;chés, des mots lancés en l'aireEt puis je sais tout ce que j'aurais pu direA défaut de souffrirQuand je les voyais venirJ'ai crié tant de fois pour qu'on m'entende mieuxSi souvent maladroit, si souvent malheureuxJ'ai garé mes angoisses sur des parkings de haineJ'ai payé des ardoises bien plus chères que mes chaandamp;icirc;nesMais je sais qu'on ne pardonne rienA qui se trompe de destinSur ce drandamp;ocirc;le de cheminEt puis je saisEt puis je sais ce jouet trop fragileQu'on ne donne jamais mais qu'on te prandamp;ecirc;te facileEt puis je sais toutes ces nuits inquiétantesLa peur collée au ventrePour remonter la penteEt puis je sais les silences entendusEt puis je sais toutes ces choses qu'on ne fait plusSi j'ai glissé sur des lits de hasardDans quelques nuits trop noiresPour quelques heures d'espoirJ'ai essayé de vivre au milieu des remordsJ'ai tenté de survivre quand on me croyait mortSi j'ai cru pour de bon aux amitiés poussièresChercher la solution au fond de quelques verresC'est que j'avais peur, que les autres me voientComme je vois les autres, j'avais si peur de moiEt puis je sais...