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O mon jardin d'eau fraandamp;icirc;che et d'ombreMa danse d'andamp;ecirc;tre mon c?ur sombreMon ciel des étoiles sans nombreMa barque au loin douce à ramerHeureux celui qui devient sourdAu chant s'il n'est de son amourAveugle au jour d'après son jourSes yeux sur toi seule fermésHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimerD'aimer si fort ses lèvres closesQu'il n'ait besoin de nulle choseHormis le souvenir des rosesA jamais de toi parfuméesCelui qui meurt mandamp;ecirc;me à douleurA qui sans toi le monde est leurreEt n'en retient que tes couleursIl lui suffit qu'il t'ait nomméeHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimerMon enfant dit-il ma chère andamp;acirc;meLe temps de te connaandamp;icirc;tre andamp;ocirc; femmeL'éternité n'est qu'une pandamp;acirc;meAu feu dont je suis consuméIl a dit andamp;ocirc; femme et qu'il taiseLe nom qui ressemble à la braiseA la bouche rouge à la fraiseA jamais dans ses dents forméeHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimerIl a dit andamp;ocirc; femme et s'achèveAinsi la vie, ainsi le randamp;ecirc;veEt soit sur la place de grèveOu dans le lit accoutuméJeunes amants vous dont c'est l'andamp;acirc;geEntre la ronde et le voyageFou s'épargnant qui se croit sageCriez à qui vous veut blandamp;acirc;merHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimer
Jean Ferrat
Heureux celui qui meurt d'aimer
Heureux celui qui meurt d'aimer
O mon jardin d'eau fraandamp;icirc;che et d'ombreMa danse d'andamp;ecirc;tre mon c?ur sombreMon ciel des étoiles sans nombreMa barque au loin douce à ramerHeureux celui qui devient sourdAu chant s'il n'est de son amourAveugle au jour d'après son jourSes yeux sur toi seule fermésHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimerD'aimer si fort ses lèvres closesQu'il n'ait besoin de nulle choseHormis le souvenir des rosesA jamais de toi parfuméesCelui qui meurt mandamp;ecirc;me à douleurA qui sans toi le monde est leurreEt n'en retient que tes couleursIl lui suffit qu'il t'ait nomméeHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimerMon enfant dit-il ma chère andamp;acirc;meLe temps de te connaandamp;icirc;tre andamp;ocirc; femmeL'éternité n'est qu'une pandamp;acirc;meAu feu dont je suis consuméIl a dit andamp;ocirc; femme et qu'il taiseLe nom qui ressemble à la braiseA la bouche rouge à la fraiseA jamais dans ses dents forméeHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimerIl a dit andamp;ocirc; femme et s'achèveAinsi la vie, ainsi le randamp;ecirc;veEt soit sur la place de grèveOu dans le lit accoutuméJeunes amants vous dont c'est l'andamp;acirc;geEntre la ronde et le voyageFou s'épargnant qui se croit sageCriez à qui vous veut blandamp;acirc;merHeureux celui qui meurt d'aimerHeureux celui qui meurt d'aimer
