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Tu es toujours la mandamp;ecirc;meTu as toujours dans les yeuxUn peu de nos folies anciennesQuelques braises d'un ancien feuEt mandamp;ecirc;me si ce feu est mortQuelque chose y brandamp;ucirc;le encoreTu es toujours la mandamp;ecirc;meÀ croire que le temps s'éterniseTu es toujours mon plus beau poèmeCelui que je ne veux pas qu'on liseEt mandamp;ecirc;me si ces mots sont mortsQuelque chose y brandamp;ucirc;le encoreC'est peut-andamp;ecirc;treQue ma tandamp;ecirc;te dort encoreAu milieu de tes brasC'est sans douteQue ma route passeJuste à candamp;ocirc;té de toiLa prandamp;ecirc;tresse gitane l'avait ditRien n'est jamais finiElle voit mes randamp;ecirc;ves avec tes randamp;ecirc;ves autourT'es la mandamp;ecirc;me toujoursLa mandamp;ecirc;me toujoursMandamp;amp;ecirc;me les autres se souviennentCette vie qu'on vivait tout droitIl suffit qu'ils en parlent à peineJ'ai des gouttes de pluie sur les brasCet orage est passé si fortQue les éclairs brillent encoreAu fond des ruelles secrètesLes pierres ont gardé nos murmuresEntre les mendiants qui regrettentEt les chiens qui rasent les mursChaque fois qu'un mot s'évaporeIl en revient d'autres plus fortsC'est peut-andamp;ecirc;treQue ma tandamp;ecirc;te dort encoreAu milieu de tes brasC'est sans douteQue ma route passeJuste à candamp;ocirc;té de toiLa prandamp;ecirc;tresse gitane l'avait ditRien n'est jamais finiElle voit mes randamp;ecirc;ves avec tes randamp;ecirc;ves autourT'es la mandamp;ecirc;me toujoursLa mandamp;ecirc;me toujoursC'est peut-andamp;ecirc;treQue ma tandamp;ecirc;te dort encoreAu milieu de tes brasC'est sans douteQue ma route passeJuste à candamp;ocirc;té de toiLa prandamp;ecirc;tresse gitane l'avait ditRien n'est jamais finiElle voit mes randamp;ecirc;ves avec tes randamp;ecirc;ves autourT'es la mandamp;ecirc;me toujoursLa mandamp;ecirc;me toujoursLa prandamp;ecirc;tresse gitane
Francis Cabrel
Tu es toujours la même (La prêtresse gitane)
Tu es toujours la même (La prêtresse gitane)
Tu es toujours la mandamp;ecirc;meTu as toujours dans les yeuxUn peu de nos folies anciennesQuelques braises d'un ancien feuEt mandamp;ecirc;me si ce feu est mortQuelque chose y brandamp;ucirc;le encoreTu es toujours la mandamp;ecirc;meÀ croire que le temps s'éterniseTu es toujours mon plus beau poèmeCelui que je ne veux pas qu'on liseEt mandamp;ecirc;me si ces mots sont mortsQuelque chose y brandamp;ucirc;le encoreC'est peut-andamp;ecirc;treQue ma tandamp;ecirc;te dort encoreAu milieu de tes brasC'est sans douteQue ma route passeJuste à candamp;ocirc;té de toiLa prandamp;ecirc;tresse gitane l'avait ditRien n'est jamais finiElle voit mes randamp;ecirc;ves avec tes randamp;ecirc;ves autourT'es la mandamp;ecirc;me toujoursLa mandamp;ecirc;me toujoursMandamp;amp;ecirc;me les autres se souviennentCette vie qu'on vivait tout droitIl suffit qu'ils en parlent à peineJ'ai des gouttes de pluie sur les brasCet orage est passé si fortQue les éclairs brillent encoreAu fond des ruelles secrètesLes pierres ont gardé nos murmuresEntre les mendiants qui regrettentEt les chiens qui rasent les mursChaque fois qu'un mot s'évaporeIl en revient d'autres plus fortsC'est peut-andamp;ecirc;treQue ma tandamp;ecirc;te dort encoreAu milieu de tes brasC'est sans douteQue ma route passeJuste à candamp;ocirc;té de toiLa prandamp;ecirc;tresse gitane l'avait ditRien n'est jamais finiElle voit mes randamp;ecirc;ves avec tes randamp;ecirc;ves autourT'es la mandamp;ecirc;me toujoursLa mandamp;ecirc;me toujoursC'est peut-andamp;ecirc;treQue ma tandamp;ecirc;te dort encoreAu milieu de tes brasC'est sans douteQue ma route passeJuste à candamp;ocirc;té de toiLa prandamp;ecirc;tresse gitane l'avait ditRien n'est jamais finiElle voit mes randamp;ecirc;ves avec tes randamp;ecirc;ves autourT'es la mandamp;ecirc;me toujoursLa mandamp;ecirc;me toujoursLa prandamp;ecirc;tresse gitane