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C'est là, C'est là
C'est là, C'est là
Que tout recommence
Etranges murs susurrent à nos oreilles
Elle est là attend l'éveil
Mais tout a commencé
Et tout recommence
On a caché
Quelques morceaux de tête
Dans sa boîte, bien intacts et mangeables
Je déteste rendre sur elle
Je fixe sa bouche
Bientôt, je sors ma langue
Nécrophores. Ils adorent
Épier, regarder, examiner
Si rien n'a bougé
Ne te réveille pas
Ceux qui marchent dans le noir
Te scrutent, te dévisagent, pénible songe
Informe image de leur sillage
Ils déambulent sans pied
Leurs jambes exsangues
Moi je les connais bien
Ils te passent, se lassent, t'assujettissent
Tes nuits glissent, se suivent
Leurs sangs s'unissent
Sans saveur. Ton sauveur, effervescente absence
Vous n'existez pas
Vous n'existez pas
Vous n'existez pas
Ils profèrent lentement,
L'anatomie aqueuse se dessinera
Son ventre se décharge vers le bas
La folie s'écoulant sur ses genoux délicats
Quel sinistre corps
la veuve se pleure d'un organe perdu. Dehors
La réalité l'effleure: elle chute, se cogne
Maltraite ses yeux suintants
Palpe ses lèvres encore chaudes
Liquide brûlant
Dormir. Aspire le suc des dieux, aime ça
Tu n'existes pas
Tu n'existes pas. Tu n'existes pas.
Tu n'existes pas. Tu n'existes pas.
Tu n'existes pas. Tu n'existes pas.
Ils te passent se lassent t'assujettissent
Tes nuits glissent, se suivent
Leurs sangs s'unissent
Sans saveur. Ton sauveur, effervescente absence
Vous n'existez pas.
Vous n'existez pas
Dis moi, pourquoi tes yeux s'inondent?
Pleure pas!
Tout ça n'existe pas!
Dis moi, pourquoi ces têtes immondes?
Pleure pas (ce soir)
Tout ça n'existe pas!
Dis moi, pourquoi ces têtes immondes?
Pleure pas,Tout ça n'existe pas !
Etrange femme murmure à mon oreille
Elle est là, sur moi veille
Ca n'a pas de sens
Et tout recommence
Leurs danses lascives s'attardent sur toi
Touche les, ils sont pour toi
Lèche les grands, lèche dedans!
Aussi vrai que toi
Ils sont si vivants
Pur sang d'enfant
Leurs bouches salivantes avalent les indices
D'une douce torture
Violente est l'ir
Leurs membres tombent
Sur ta fleur à demi morte
Ne pleure pas
Tu seras toujours la suivante
Tu ne rêves pas, tu ne rêves pas...
Eths
Infini
Infini
C'est là, C'est là
C'est là, C'est là
Que tout recommence
Etranges murs susurrent à nos oreilles
Elle est là attend l'éveil
Mais tout a commencé
Et tout recommence
On a caché
Quelques morceaux de tête
Dans sa boîte, bien intacts et mangeables
Je déteste rendre sur elle
Je fixe sa bouche
Bientôt, je sors ma langue
Nécrophores. Ils adorent
Épier, regarder, examiner
Si rien n'a bougé
Ne te réveille pas
Ceux qui marchent dans le noir
Te scrutent, te dévisagent, pénible songe
Informe image de leur sillage
Ils déambulent sans pied
Leurs jambes exsangues
Moi je les connais bien
Ils te passent, se lassent, t'assujettissent
Tes nuits glissent, se suivent
Leurs sangs s'unissent
Sans saveur. Ton sauveur, effervescente absence
Vous n'existez pas
Vous n'existez pas
Vous n'existez pas
Ils profèrent lentement,
L'anatomie aqueuse se dessinera
Son ventre se décharge vers le bas
La folie s'écoulant sur ses genoux délicats
Quel sinistre corps
la veuve se pleure d'un organe perdu. Dehors
La réalité l'effleure: elle chute, se cogne
Maltraite ses yeux suintants
Palpe ses lèvres encore chaudes
Liquide brûlant
Dormir. Aspire le suc des dieux, aime ça
Tu n'existes pas
Tu n'existes pas. Tu n'existes pas.
Tu n'existes pas. Tu n'existes pas.
Tu n'existes pas. Tu n'existes pas.
Ils te passent se lassent t'assujettissent
Tes nuits glissent, se suivent
Leurs sangs s'unissent
Sans saveur. Ton sauveur, effervescente absence
Vous n'existez pas.
Vous n'existez pas
Dis moi, pourquoi tes yeux s'inondent?
Pleure pas!
Tout ça n'existe pas!
Dis moi, pourquoi ces têtes immondes?
Pleure pas (ce soir)
Tout ça n'existe pas!
Dis moi, pourquoi ces têtes immondes?
Pleure pas,Tout ça n'existe pas !
Etrange femme murmure à mon oreille
Elle est là, sur moi veille
Ca n'a pas de sens
Et tout recommence
Leurs danses lascives s'attardent sur toi
Touche les, ils sont pour toi
Lèche les grands, lèche dedans!
Aussi vrai que toi
Ils sont si vivants
Pur sang d'enfant
Leurs bouches salivantes avalent les indices
D'une douce torture
Violente est l'ir
Leurs membres tombent
Sur ta fleur à demi morte
Ne pleure pas
Tu seras toujours la suivante
Tu ne rêves pas, tu ne rêves pas...