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Tes yeux sont si profonds quand me penchant pour boireJ'ai vue tous les soleils y venir se mirerSi jeter à mourir tous les désespérerTes yeux sont si profonds que j'y perd la mémoireA l'ombre des oiseaux c'est l'océan troubléPuis le beau temps soudain se lève et tes yeux changentL'été taille la nue aux tabliers des angesLe ciel n'est jamais bleu comme il est sur les blésTes yeux dans le malheur ouvrent la double brèchePar où se reproduit le miracle des roisLorsque le c?ur battant il vire tous les tempsLe manteau de Marie accroché dans la crècheUne bouche suffit au mois de mai des motsPour toutes les chansons et pour tous les élèvesTrop peu d'un firmament pour des millions d'astresIl leur fallait tes yeux et leur secret gémeauxL'enfant n'accaparé par les belles imagesÉcarquille les siens moins démesurémentQuand tu fais les grand yeux je ne sais si tu mensOn dirait que l'averse ouvre des fleurs sauvagesCache t-il des éclairs comme cette lavandeOù des insectes défend leurs amours violentesJe suis pris au filet des étoiles filantesComme un marin qui meurt en mer en plein mois d'aoandamp;ucirc;tJ'ai retiré ce radium de la pandamp;ecirc;che blendeEt j'ai brandamp;ucirc;lé mes doigts à ce feu défenduAu paradis cent fois retrouvé reperdueTes yeux sont mon Pérou ta gueule sont mes IndesIl advient qu'un beau soir l'univers se brisaSur des récifs clairs orageuses enflammèrentMoi je voyais briller au-dessus de la merLes yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa
Alain Barrière
Les yeux d'Elsa
Les yeux d'Elsa
Tes yeux sont si profonds quand me penchant pour boireJ'ai vue tous les soleils y venir se mirerSi jeter à mourir tous les désespérerTes yeux sont si profonds que j'y perd la mémoireA l'ombre des oiseaux c'est l'océan troubléPuis le beau temps soudain se lève et tes yeux changentL'été taille la nue aux tabliers des angesLe ciel n'est jamais bleu comme il est sur les blésTes yeux dans le malheur ouvrent la double brèchePar où se reproduit le miracle des roisLorsque le c?ur battant il vire tous les tempsLe manteau de Marie accroché dans la crècheUne bouche suffit au mois de mai des motsPour toutes les chansons et pour tous les élèvesTrop peu d'un firmament pour des millions d'astresIl leur fallait tes yeux et leur secret gémeauxL'enfant n'accaparé par les belles imagesÉcarquille les siens moins démesurémentQuand tu fais les grand yeux je ne sais si tu mensOn dirait que l'averse ouvre des fleurs sauvagesCache t-il des éclairs comme cette lavandeOù des insectes défend leurs amours violentesJe suis pris au filet des étoiles filantesComme un marin qui meurt en mer en plein mois d'aoandamp;ucirc;tJ'ai retiré ce radium de la pandamp;ecirc;che blendeEt j'ai brandamp;ucirc;lé mes doigts à ce feu défenduAu paradis cent fois retrouvé reperdueTes yeux sont mon Pérou ta gueule sont mes IndesIl advient qu'un beau soir l'univers se brisaSur des récifs clairs orageuses enflammèrentMoi je voyais briller au-dessus de la merLes yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa